Pushing the Advantages of Bilingualism 

Recently, some articles were posted regarding bilingualism.  They were interesting in that it supported the well-known fact that children who grow up bilingual had a certain edge over monolinguals – what researchers call the bilingual advantage.

Yet one article reported  studies done by Angela de Bruin ( Is Bilingualism Really an Advantage? by Maria Konnikova), arguing that even though she thought the whole theory was a bit overblown, it remained, nonetheless, an obvious advantage. 

In addition, the articles totally agreed on one fact: that having the bilingual advantage helps aging brains because when the brain keeps « working out » the benefits help delay the onset of dementia and Alzheimer’s!  Therefore, learning  a language when we’re older makes big difference to aging brains. In fact, learning a language at ANY age is beneficial. It will always be a mental workout and help keep the brain nimble. 

So, today one could say that by teaching English or any foreign language to adults, we are contributing to their future mental health! We are giving them a mental workout- just like crossword puzzles, memory games, etc.  

Now that we have a great theme on our hands-let’s use it. Inform your students and share the articles with them so that next time you bring up the present perfect, they can give an added value to the task!

Caroline Aguilar.

Traduction :

L’avantage d’être un professeur d’anglais aujourd’hui.

Promouvoir les avantages du bilinguisme.

Des articles sur ce sujet ont récemment été mis en ligne. Ils étaient intéressants car ils confirmaient le fait bien connu que les enfants qui ont grandi en parlant 2 langues avaient un avantage par rapport à ceux qui ne parlaient qu’une seule langue, ce que les chercheurs appellent « l’avantage bilingue ».

Cependant un article rendait compte d’études faites par Angela de Bruin (Est-ce que le bilinguisme est réellement un avantage ? par Maria Konnikova) affirmant que bien qu’elle trouve cette théorie un peu exagérée cela reste néanmoins un avantage évident.

De plus, les articles étaient tous d’accord sur un point à savoir qu’être bilingue est bon pour le cerveau qui vieillit : quand le cerveau continue à « se muscler », cela aide à faire reculer le début de la sénilité et d’Alzheimer.

Donc apprendre une langue lorsque l’on vieillit fait une grande différence pour le cerveau âgé. En fait, apprendre une langue à n’importe quel âge est bénéfique. Ce sera toujours un exercice cérébral et cela aidera à garder un cerveau agile.

Ainsi aujourd’hui, on peut dire qu’en enseignant l’anglais ou toute autre langue étrangère aux adultes, nous contribuons à leur future santé mentale. Nous leur donnons un exercice mental tout comme des mots croisés, des jeux de mémoire, etc…

Maintenant que nous avons un bon sujet entre les mains, utilisons-le !

Informez vos stagiaires et partagez les articles avec eux afin que la prochaine fois que vous leur parlerez du Present Perfect, ils puissent apporter une valeur ajoutée à l’exercice….